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Nom : Algenib.
Prénom : Angelica, surnommée Angel.
Race : Vampire nocturne
Age : Cela est une bien bonne question. Elle paraît avoir 18 ans, voir même un peu moins, mais qui sait réellement son âge...
Sexe : Féminin
profession: Médecin/criminelle
Rang: Marquise de Lesneven (ville bretonne)
Arme : Dagues et scalpels
Pouvoir : Peut percevoir les battements de coeur.
Description du personnage (physique et mental ) Intrigante et mystérieuse. Deux mots allant comme un gant à cette demoiselle au regard si peu commun. Un regard verron, un oeil bleu et l'un marron posés sur un visage pâle encadré d'une longue chevelure rousse. C'est une belle jeune femme qui ne reflette pas son âge. Mais ce physique ne montre pas non plus la personnalité de cette demoiselle bien qu'à première vue, on peut le deviner.
De nature calme est posée, elle n'est pas du genre à s'emporter dans des conflits qu'elle califirait d'anodins. Mais dernirière son visage d'ange se cache un véritable démon. Bien qu'elle se laisse très vite porté par son premier travail de médecin, elle ne reste pas moins une véritable tueuse. Elle aprécie de voir le visage d'une personne se tordre de douleur avant de planter ses cros dans la peau tendre du cou de sa victime. Mais elle doit l'avouer, ce qu'elle préfère est de trahir une personne qui a confiance en elle et qu'elle ne condière pas comme une personne importante de son entourage.
Un visage d'ange qui cache donc un démon. Mais son surnom d'Angel ne vient pas uniquement de son prénom et de son visage mais aussi part ses tenues vestimentaires. Angelica ne porte que du blanc, il est très rare de la voir porter du noir, où si elle en porte, cela n'est qu'en petite quantité. Elle ne passe donc pas inaperçue la nuit, le seul moment de la journée où elle puisse sortir.
Ne vous fiez pas non plus à sa petite taille, cette fille est bien plus robuste que le montre son état physique qui laisse penser à une jeune femme malade, prête à s'évanouir dans la moindre seconde. Cette fille est très dangereuse. Elle agile et précise dans ses plus petits mouvements, comme si tout était calculé.
Histoire: Petit coin de la côté bretonne, tout près de la pointe du raz, il y a de cela des années, vit le jour d'une petite fille. Elle était magnifique avec ses cheveux roux ainsi que son petit minois d'ange. Une fille qui se fit appelait Angelica, nom peu commun dans la région. Mais sa mère se maudit de lui avoir donné ce prénom à la vu des yeux de son enfant. Des yeux verrons. Cela signifiait-il qu'elle était pocèdée par le diable ? Pas vraiment, mais à ectte époque, et même aujourd'hui, c'était ec cela signifiait. Très vite, la mère de la fillette prit ses distance, sans pour autant l'abandonner à une mort certaine.
La mère de l'enfant la confit à son père. Très bonne idée, mais le problème êtant que son père ne voulait jamais entendre parler de sa fille et encore moins de la mère. La raison ? Le père d'Angelica se trouvait être un marquis de Bretagne et qu'il avait passé une nuit en companie de l'aubergiste qui l'avait logé pour une nuit.
Après quelques années, Angelica rejoigna son père dans son chateau. Bien sûr, ce qu'il se passa ensuite pour la fillette de cette époque, cela ne fut pas rose. Traité comme une moins que rien, devant faire des taches impossibles pour son âge et d'autre chose. Voila ce que fut sa vie quotidienne pendant plusieurs longues années jusqu'à un beau soir.
Ce soir là, la nuit était calme, le vent soufflait d'une légère brise hivernale mais meurtrièe pour une personne dormant à la belle étoile. On lui avait dit de monter la garde à l'entrer du château. Comme si une fillette pourrait faire quelque chose si un ennemis. Angelica crut qu'elle allait mourrir de froid peu à peu qu'elle sentait la fatigue lui femer petit à petit les yeux. Ce fut lorsqu'elle aperçu une silouette au loin qu'il la fit retrouver le courage de rester éveiller encore plus longtemps. Cette silouhette vint vers elle. Un homme, un beau jeune homme qui semblait ne plus tenir sur ses jambes. Il avait l'air aussi d'avoir faim. Mais que lui donner à manger. Angelica n'avait rien sur elle, même pas un bout de pain. Alors que l'inconnu se mit à vassiller en avant, la jeune fille le rattrapa de jutesse, pliant les genoux sous le poid de l'homme.
Après avoir réussi à s'assoire par terre, tout en tenant l'inconnu pour ne pas qu'il se fasse mal, Angelica put entendre le soufle aletent de l'individu. Elle lui posa plusieurs questions, dont quel était son nom et s'il allait bien. Mais elle n'eut aucune réponse. De temps en temps elle pouvait sentir quelques doigts dans son cou, bien qu'elle n'y faisait jamais trop attention jusqu'au moment où elle sentit les lèvres gercées de l'inconnu sur la peau de son cou puis eux cros s'anfoncer dans son cou.
Après cela, la jeune fille ne se souvient de rien. La seule chose dont elle se souvient et qu'elle se réveilla dans un lit, dans le chateau de son père est qu'à partir de ce moment là, plus personne ne lui cosa de problème à cause de sa mère. Mais ce fut aussi à partir de ce jour là qu'elle ne commença à ne plus avoir d'apétit, ou du moins, qu'elle n'arrivait plus à se nourrir de fruits et de légumes. Ils pedaient de plus en plus leur goût. La seul chose qu'elle aprécier de manger était de la viande, saignante de préférence. Elle sentait pas beaucoup le goût de la chère mais plus le goùt du sang.
Le sang, une chose qu'elle ne pouvait supporter voir avant cette nuit alors que maintenant, elle ne pouvait détacher ses yeux de la moindre petite goute de ce liquide rouge. Elle commença à aimer le sang. Cela était effectivement une pensée qui la dégoutée bien qu'après un certain temps, elle trouva cela normale de vouloir mordre le cou d'une personne.
La vue d'une lumière trop forte l'inconvégnait aussi au bout d'un certain. Il arriva même un moment où elle ne put se montrer à la lumière du jour car cela lui faisait trop mal. Elle commença alors à rester cloitrer dans les murs froid du chateau, sans pouvoir rien faire.
Des années plus tard, Angélica n'avait pas beaucoup grandi, d'ailleurs, on avait même l'impression que sa croissance avait été ralenti. Malgré cela, personne ne disait rien. Après tout, elle était malade. Enfin, c'était ce que l'on raconter partout dans le chateau est dans les villes environnante. Son père, lui, avait très bien compris ce qu'était devenu sa fille, il en avait même peur. Il était vrai que depuis qu'Angelica avait accenditellement planté ses cros dans le cou de son fils, le marquis n'arrivait plus à la regarder en face.
Peu de temps après, la jeune fille fut envoyer par son père dans une ville afin qu'elle apprenne à vivre, ce fut ce que lui dit son père pour expliquer pourquoi elle devait quitter sa Bretagne natale. Ne pouvant contredir les mots de son père, ses valises furent très vites faites et à la tombée de la nuit, la demoiselle au yeux verrons quitta le chateau de son père afin de se rendre dans une ville appelait Orléan où non loins de cette ville se trouvait un petit chateau où elle vivrait avec quelques domestiques.
~Hrp~
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